Mois : avril 2022

Mika dans le magazine italien « Cosmopolitan » (avril/mai 2022)

Tout est dans le titre de la news! Mika fait la Une du magazine italien « Cosmopolitan » (avril/mai 2022).

Vous pouvez télécharger les pages du magazine au format PDF en cliquant ici.


Source : MikaWebsite[.Com!]



Mika en interview : La Presse – « Mika, chanteur de cœur »

Deux ans après les dates prévues, Mika montera enfin cette semaine sur les scènes de Montréal, Québec et Saguenay. On lui a parlé au moment où il se trouvait en Californie, où il a donné quelques spectacles la semaine dernière, dont un au festival Coachella. Discussion charmante avec un chanteur de cœur.

Le spectacle, qui devait être présenté au Québec en mai 2020, avait été reporté à cause de la pandémie au début d’avril 2022. Mais ces représentations ont été déplacées parce que vous avez eu la COVID-19. Avez-vous eu peur de ne jamais revenir chanter au Québec ?

Non ! Mais la vieille superstitieuse que je suis n’était pas étonnée. Je me disais, jamais deux sans trois ! Mais la troisième fois, quand on y arrivera, ça va être canon. Et je le confirme, ce l’est. À Coachella la semaine dernière, c’était un carton ! C’était énorme pour moi, un test, un défi. C’était le premier festival, on a commencé avec le plus dur, mais quand les gens m’ont vu sur les réseaux sociaux à Coachella, à New York, ça les a rassurés. Maintenant les ventes reprennent, ils savent que j’ai un travail à faire et que je vais le faire.

Après deux ans de pandémie, sentez-vous que les gens sont frileux de retourner voir des spectacles ?

Ils sont frileux de planifier en avance, mais dans le moment, je ne peux pas vous dire à quel point la température humaine est hallucinante. Il faut voir le public de Coachella, c’est dingue, ils sont en train de perdre leur tête ! La première fois que je suis remonté sur scène à New York, quand j’ai vu ça, j’avais les larmes aux yeux. Je me suis dit : « Oh wow ! En fait, on en avait besoin. »

Est-ce que ce sera le même spectacle que vous deviez présenter il y a deux ans ?

Pas du tout. Il est complètement redessiné, et fait sur mesure pour le Canada. C’est un show où la lumière et les couleurs sont extrêmement chorégraphiées avec la musique. Et l’émotion. Donc c’est un show qui provoque l’émotion du public, et ça fait danser. C’est très collaboratif.

La dernière fois que vous êtes monté sur une scène à Montréal, c’était en 2019 au Corona. Cette fois, vous serez au Centre Bell. L’énergie est-elle la même dans une petite salle ou un aréna ?

Bien sûr. Moi j’ai une responsabilité, c’est de faire oublier complètement le lieu ! Décontextualiser, dépayser. Je veux que vous sentiez que c’est juste toi et moi, ou juste toi, ton pote et moi. Et quand on peut baisser les défenses comme ça, c’est presque de la magie.

Cette semaine vous allez chanter au Centre Bell à Montréal, au Centre Vidéotron à Québec et au Théâtre du Palais municipal de La Baie. Vous n’avez jamais rejoint autant de spectateurs au Québec en si peu de temps !

Non, et je réalise aussi ma chance. C’est symbolique du rapport que nous avons, de la franchise entre moi et le public québécois. Il n’y a pas de bullshit. Je sens que c’est un privilège de faire ces shows. Pour dire la vérité, faire un show de lumières pour vous, économiquement ça n’a pas trop de sens. Mais je m’en fiche complètement !

Votre précédent album, My Name Is Michael Holbrook, remonte à 2019. Vous écrivez de nouvelles chansons ?

Il y a un an, après être venu ici pour Star Académie, j’ai recommencé à écrire… et là j’ai du matériel pour trois albums ! Alors que je n’avais pas écrit depuis deux ans.

Qu’est-ce qui fait que ça a débloqué ?

Vraiment, j’ai regardé autour de moi et je me suis dit merde, avec le monde de la musique qui change, si on n’assume pas nos différences encore plus, et si le monde que je peux créer ne s’élargit pas… Pas en copiant les sons des autres, mais en réclamant la mélodie, la couleur, en réclamant ma propre irrévérence sans avoir peur des conséquences. Je me suis dit : « J’ai 38 ans, et j’y vais, et je sors tout ce que j’ai en moi. Avec une rage délirante, comme si c’était une drogue euphorique. Mais utiliser la musique au lieu de la drogue ! »

L’association entre le mot rage et vous est surprenante…

Je pense qu’on n’utilise pas assez bien le mot rage. Quand on est vraiment amoureux, il y a une sorte de rage, non ? Quand cette vague vient, il faut aller dessus. Je ne dis pas ça pour être mignon, mais peut-être que cette quarantaine que j’ai faite tout seul dans la campagne québécoise pendant deux semaines l’an dernier… c’était la première fois de ma vie que j’étais seul, et c’était juste après la mort de ma mère, mais bizarrement, je pense que ça m’a aidé à redémarrer, et éteindre le bruit. Un reset.

Parlez-moi un peu de l’Eurovision, que vous allez coanimer très bientôt, et qui sera présenté par la télévision publique italienne.

C’est tellement énorme ! Et personne en Amérique du Nord ne sait que ça existe, sauf les Québécois, parce que Céline s’est présentée là-bas. C’est regardé par 200 millions de personne autour du monde, c’est le plus grand show de la planète, et l’Amérique du Nord s’en fiche complètement. Je trouve ça drôle !

Vous êtes un artiste européen dans le fond…

en train d’animer l’Eurovision en trois langues. Et je suis un mec avec un passeport américain.

Vous êtes vraiment un citoyen du monde !

Non, non, non… Je suis un citoyen d’absolument nulle part ! Je suis un citoyen de ce que je fais, de ce que je crée. Mais ce qui est intéressant avec l’Eurovision, c’est l’idée de l’universalité, qui va au-delà du passeport. Le concept européen, il est large et généreux, depuis cet universalisme dont parlait Victor Hugo. Je suis en train de parler de tout ça, ça peut paraître ridicule parce que c’est une émission de variétés, mais pas quand on est en train de parler à 200 millions de personnes, dans un moment où il y a la guerre en Europe et presque 10 millions de personnes qui sont déplacées à cause de cette guerre. Quand on regarde les moments les plus dark de l’histoire de l’Europe, c’est toujours quand cette lumière européenne d’un pays à l’autre n’a pas réussi à percer, parce que les murs étaient très hauts et que tout était divisé.

Qu’est-ce qu’on vous souhaite pour les concerts de la semaine prochaine ?

De l’émotion, de la joie. De se retrouver, c’est beau.

Source : La Presse



Festival Foire aux Vins d’Alsace : Mika en concert le dimanche 24 juillet 2022

Entre foire gastronomique, foire commerciale et avant tout festive, la Foire aux Vins d’Alsace fait vibrer l’été. Une 73ème édition pleine de surprises…

Mika sera en concert à la Foire aux Vins d’Alsace le dimanche 24 juillet 2022 à 20h00. Le chanteur partagera l’affiche avec Clara Luciani.

Vous pouvez réserver vos billets dès maintenant via le site officiel du festival (tarifs à partir de 55 euros en placement libre assis / debout et 65 euros en pass express : cette formule vous permet une entrée anticipée dans le Théâtre de plein air 15 à 20 minutes avant l’ouverture des autres portes d’accès public. 600 places Pass Express sont proposées à la vente par concert.)

Source : MikaWebsite[.Com!]



Mika en interview : l-express.ca – « Le grand retour à Toronto de Mika »

Après avoir vu sa tournée nord-américaine être annulée en raison de la pandémie, le chanteur Mika effectuera son retour dans la ville reine le 13 avril. Une première visite à Toronto depuis 2013!

«Oh, c’est bien de faire une entrevue en français pour Toronto. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me fait vraiment plaisir!», a-t-il dit d’emblée lorsque l-express.ca l’a rejoint au téléphone alors qu’il se trouvait à Milan.

De la visite rare

Le sympathique chanteur, qui a vendu plus de 7 millions de copies de son premier album Life in Cartoon Motion, ne pouvait cacher sa joie à l’idée de revenir à Toronto après toutes ces années.

«Toronto, ça fait très longtemps! Le reste (la côte ouest américaine et le Québec) j’y vais très souvent et cette fois-ci je me suis dit comme je vais être là-bas, ça serait bête d’être aussi proche et de ne pas aller faire un concert à Toronto.

Avant ces années de pause, j’avais 3 mois de tournée prévue en Amérique du Nord et Sud, j’avais Coachella, tous les Lollapalooza, et tout a été annulé. Là on reprend, ça se passe très bien. C’est un nouveau spectacle qui annonce un peu ce désir de se relancer de toutes les manières. Se renouveler avec une nouvelle énergie après 2 ans de pause.

Je suis ravi de venir à Toronto parce qu’on y mange tellement bien. Un des meilleurs endroits au monde donc, juste par gourmandise, je suis ravi!

Ce qui est particulier avec le concert à Toronto est qu’on va voir le mélange. Moi j’ai un public canadien anglo-saxon, des francophones, mais aussi beaucoup de gens qui viennent du monde arabe, des immigrés, des Italiens qui viennent de partout. Cette diversité donne un public qui est très à part et qui a une très belle énergie.»

Des succès, des réinventions et du matériel en français

«Comme ça fait très longtemps que je ne suis pas venu à Toronto, le concert va me représenter. Moi la personne, l’artiste d’un point de vue musical et dans toute mon énergie.»

«Évidemment il va y avoir des chansons que les gens connaissent depuis un petit moment, mais aussi quelques réinventions qui sont surprenantes. Il va également y avoir un petit peu de matériel francophone!»

«Il y a toujours un côté artistique presque conceptuel dans mes concerts et c’est très important de préserver ça. Même si ce n’est pas une grosse arène, j’ai bien la même intention de raconter et provoquer de l’émotion comme si c’était un stade.»

Une plus petite salle à Toronto

Pour ce passage en ville, Mika montera sur les planches de la nouvelle salle History, dans le quartier des Beaches. Une salle un peu plus petite que pour les autres dates de la tournée nord-américaine.

«J’ai l’habitude de faire des concerts devant 80 000 personnes dans un festival. Je peux faire un concert avec un orchestre symphonique devant un public de 200 personnes ou dans un aréna avec 10 000.»

«Honnêtement, je pense que la chose la plus importante est ce que tu exprimes. La lumière qui sort de toi doit être aussi brûlante et forte dans un théâtre que dans un stade.»

Un artiste complet

Véritable touche à tout, Michael Holbrook, de son vrai nom, porte plusieurs chapeaux et jongle avec plusieurs médiums à la fois.

«J’ai commencé tellement jeune, c’est toute ma vie. Je connais juste ça, l’idée de raconter…visuellement, audio, musicalement ou à la télévision. Il faut raconter des choses, c’est tellement important.

C’est comme ça que je vois tout. Ce n’est pas juste des singles et des campagnes. Pour moi c’est vraiment l’ensemble qui forme l’identité de l’artiste. L’artiste c’est vraiment moi, c’est inséparable.»

Beaucoup de télévision et l’Eurovision

Mika est très présent dans les téléviseurs du monde entier. Que ce soit à The Voice (France), X Factor (Italie et Royaume-Unis) et Star Académie au Québec, il est partout et adore ça.

Récemment, il a été annoncé comme un des co-animateurs de la 66e édition de l’Eurovision qui se déroulera en mai à Turin en Italie . Il travaille actuellement sur l’écriture et pré-production de l’événement télévisuel d’envergure.

«C’est un gros truc. Le plus grand spectacle de télévision au monde avec 195 millions de téléspectateurs! C’est une dynamique de spectacle tellement macro que ça implique énormément de choses et une autre sensibilité par rapport à l’écriture. J’adore ce type de challenge, pour moi c’est super amusant!»

Un peu intimidant tout de même?

«Non, c’est très fun. Il ne faut pas penser à avoir peur, il ne faut jamais avoir peur et juste penser à être excellent. Il faut avoir peur de la médiocrité c’est tout.»

Une pandémie productive

Alors que plusieurs artistes ont vu leurs activités cesser durant la pandémie, Mika en a profité pour faire plusieurs trucs différents. Des concerts virtuels bénéfices, un projet d’art de rue en collaboration avec le Musée des Arts décoratifs de Paris et même une série de vidéos de cuisine sur ses réseaux sociaux.

«J’ai vu ça comme une opportunité de réinventer les choses pour pouvoir presque arrêter dans un sens le mécanisme qu’on a dans ce job. On se dit: ‘OK on prend du temps, on peut évaluer ce qu’on fait, est-ce qu’on peut le faire mieux?’ J’ai travaillé beaucoup plus que plusieurs artistes et j’en suis conscient.

J’ai toujours eu une vision très 360 de ce que je fais et je suis un artiste un peu improbable. Donc quand la pandémie est arrivée j’ai eu une autre manière de m’exprimer. J’avais la possibilité de le faire parce que je n’attendais pas juste les choses formatées et les cadres habituels pour pouvoir me présenter et m’exprimer. J’ai pu m’adapter.»

Les racines classiques

L’artiste qui a étudié au Royal College of Music de Londres a fait plusieurs concerts symphoniques dans les dernières années et a lancé l’an dernier l’album «Mika à L’Opéra Royale de Versailles».

«J’ai commencé dans la musique classique donc cette idée de faire partie d’un groupe de musiciens, d’un collectif est toujours restée en moi. C’est la chose la plus belle qu’on puisse faire en tant que musicien: chanter, flotter et respirer ensemble. C’est magique et j’ai toujours voulu me rapprocher de ça même avec mon propre matériel.

Maintenant que c’est commencé, ça ne va pas disparaître . On va continuer à le faire d’une différente manière à chaque fois.»

Des projets plein la tête

En plus de la tournée «For the Rite of Spring» et de l’Eurovision, Mika sera très occupé pour le reste de l’année. Il partira dans le désert sous peu dans le but d’enregistrer des tribus pour une bande originale de film qui devrait sortir en 2023 et sortira deux nouveaux albums bientôt.

«Vous allez commencer à entendre de la nouvelle musique dans les mois qui viennent. Je veux continuer à construire un univers. C’est vraiment juste le début. J’ai toujours à l’idée que moi je peux trouver et retrouver l’inspiration. Ce que je fais peut inspirer les autres, et ça, c’est un défi éternel.»

Source : l-express.ca (Cindy Caron)



Mika en interview : Le Journal de Montréal – « J’ai un lien très direct avec le public québécois »

Mika attendait depuis deux ans de venir jouer pour le public québécois. Après de nombreux reports, le coloré artiste européen viendra célébrer l’arrivée du printemps dans quelques jours avec sa nouvelle tournée, For the Rite of Spring. Le Journal a eu la chance de s’entretenir avec le musicien de 38 ans qui attend avec impatience de traverser l’océan pour venir nous voir.

Jusqu’à quel point êtes-vous excité de venir faire ces trois concerts au Québec?

«Le Québec est une région qui est pour moi très importante. C’est pour ça aussi que je me suis investi autant l’année dernière dans Star Académie. J’avoue que je suis juste ravi de ne pas devoir passer deux semaines en quarantaine pour pouvoir venir faire ces concerts. Parce que la dernière fois, c’était too much [rires] ! Ça fait tellement plaisir de se retrouver dans des circonstances un peu plus joyeuses et libres.»

Pourquoi avez-vous décidé d’appeler cette tournée For the Rite of Spring?

«Le sacre du printemps, c’est un ballet de Stravinsky. Mais c’est aussi le titre d’un dessin que j’avais fait quand j’ai transformé Paris en la plus grande galerie éphémère au monde. Il y a un an, je voyais que tous les panneaux de publicité à Paris étaient vides. Ça m’a rendu triste. Habituellement, ils servent à annoncer des événements. Mais là, ils étaient juste morts. Avec un peu de lobbying, j’ai réussi à convaincre [la compagnie propriétaire des panneaux] pour qu’ils me les donnent. J’ai commissionné dix œuvres d’art qui ont été exposées partout dans la ville. Je pense qu’on a fait 4000 panneaux de pub ! […] Le printemps, c’est la renaissance. C’est là où on retrouve notre énergie, notre désir, notre envie. Je trouvais que c’était parfait pour une tournée qui repart après deux ans d’absence.»

En plus de Montréal, vous allez jouer pour la première fois à Québec et à Saguenay. Pourquoi allez-vous visiter ces nouveaux marchés?

«C’était un désir du promoteur de me faire jouer là-bas. J’avoue que j’ai un lien très direct avec le public québécois. Mais je n’y vais pas assez. Et donc, j’avais envie de faire quelque chose qui n’était pas juste un concert à Montréal. […] Est-ce qu’il y a toujours l’hiver chez vous? C’est dingue parce que pour nous, c’est fini. J’ai un peu peur de confronter l’hiver. Mais sinon, tout va bien!»

Klô Pelgag fera votre première partie pour ces trois concerts. Pourquoi l’avez-vous invitée?

«J’ai demandé à des amis et aussi des promoteurs qui sont au Québec de m’envoyer les options des artistes les plus intéressants et excitants du moment. Et le choix était assez évident. […] J’aime beaucoup ce qu’elle fait. J’aime la force artistique qu’elle dégage. Je voulais quelque chose de fort, pas juste quelqu’un de différent chaque soirée. C’était un choix très conscient, et je suis ravi qu’elle ait accepté de le faire. J’ai même essayé de l’avoir un peu plus dans la tournée américaine. Mais la logistique était trop difficile et elle n’était pas complètement disponible. On va commencer avec ça et on verra. Mais je suis très curieux de la voir sur scène. J’ai vu des vidéos et ça m’a plu énormément.»

Comment avez-vous vécu les deux années de pandémie en Europe?

«Pour moi, ça a été vraiment une période suspendue. Ç’a permis un peu à mon cerveau de se remettre en ordre. Non seulement j’ai pu gérer plein de choses qui se sont passées dans ma vie. Mais aussi, j’ai pu un peu me poser et ne pas juste suivre un rythme frénétique qui ne me correspondait pas trop. […] Ç’a été un mélange d’une période très douloureuse, parce qu’il y a eu plein de choses intenses qui se sont passées, et aussi d’une période d’instabilité d’un point de vue business. En même temps, peut-être que cette phase-là a sauvé mon processus créatif et potentiellement ouvert la porte sur la nouvelle phase de ma carrière. Parce que là, j’écris d’une manière complètement différente, avec une candeur qui est brûlante. C’est comme si toute ma musique et tous mes projets créatifs ont retrouvé une urgence et une raison d’être.»

Quels souvenirs gardez-vous de votre passage à Star Académie l’an dernier?

«D’abord, que c’est très facile de penser qu’on est correct pour deux semaines [de quarantaine], tout seul dans une maison dans le bois, entouré par la neige. Mais en fait, j’avoue que c’était beaucoup plus difficile que ce que j’imaginais ! Cela dit, c’était probablement très utile. J’en avais besoin. J’avais besoin de me séparer du monde entier et de me concentrer sur quelque chose d’autre. […] Sinon, Star Académie, c’était très amusant. On a pu monter des moments de télé qui étaient très spectaculaires, dans une industrie où l’on a maintenant perdu un petit peu cette culture de la télé spectaculaire.»

Source : JDM