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Vidéos : Mika donne le coup d’envoi de « Viva For Life » sur RTBF

On l’attendait avec impatience. Il est venu. Le chanteur Mika a enfermé nos trois animateurs avant d’enflammer la place des Trois Fers avec ses tubes. Dès la fin de l’après-midi, la foule s’amassait autour des chalets de Noël. L’effet Mika a fait le reste. Début de soirée, impossible de se frayer un chemin jusqu’à la scène. Malgré le froid piquant, le public l’attendait. Le chanteur s’est donné généreusement n’hésitant pas à descendre dans le public pour entonner son dernier tube, ‘C’est la vie’.

Mika interprète « Grace Kelly » & Interview

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Mika en Showcase

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Source : MikaWebsite[.Com!]Sudinfo.be



Vidéo : Interview « RTBF » – Mika : Un parcours résolument atypique

Le coup d’envoi de Viva For Life sera donné d’ici quelques heures. Et c’est une star à la renommée internationale qui enfermera les animateurs dans le cube. Cette star, c’est Mika. Son univers est unique et acidulé. Et sa voix, reconnaissable entre mille. Au fil du temps, Mika a su imposer son style. Et il vous est probablement déjà arrivé de chantonner l’un de ses refrains sans même vous en rendre compte.

Le chanteur cumule plus de 16 ans de carrière et 6 albums dont le dernier « Que ta tête fleurisse toujours ». « C’était un message que j’avais reçu de ma mère. C’était un dessin pour mon anniversaire. Le dernier message qu’elle m’avait envoyé. Cette provocation… Un défi qu’elle me lançait pour après sa disparition. Que tes idées puissent continuer à venir dans ta tête, et devenir quelque chose, que tu puisses rester créatif », explique-t-il.

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Source : MikaWebsite[.Com!]RTBF



Vidéo : « Sept à Huit » – Mika : Ma Mère, Ma Muse

Ce dimanche 17 décembre 2023 dans Sept à Huit sur TF1, le portrait de la semaine était consacré à Mika. Face à Audrey Crespo-Mara, le chanteur s’est notamment livré sur ses relations avec sa mère avant qu’elle ne décède il y a deux ans, et sur l’acte très symbolique réalisé avec son frère et ses sœurs. Des confessions qui ont bouleversé les internautes.

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Source : MikaWebsite[.Com!]Yahoo Actualités



Vidéos : Mika en interview et en live dans « Le Meilleur des Réveils » sur RFM

Invité du Meilleur des Réveils pour son nouvel album « Que ta tête fleurisse toujours », MIKA nous a interprété son nouveau titre « C’est la vie » en LIVE sur RFM le jeudi 14 décembre 2023 !

Mika en interview

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Mika interprète en live « C’est la Vie »

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Source : YouTube RFM France



Interview « 20 Minutes » – Mika : « Je suis très reconnaissant du privilège de faire ce job »

Le chanteur Mika, qui vient de sortir un album pop tout en français, promet encore de très belles surprises à son public.

Le chanteur britannico-américain, qui sort son sixième disque, «Que ta tête fleurisse toujours», ne s’était jamais autant dévoilé que dans cet album aux sonorités pop, entièrement chanté en français. Bientôt en tournée, Mika se produira le 28 mars 2024 à l’Arena de Genève.

Pourquoi avez-vous eu envie de sortir un album entièrement en français?

Je parle bien le français, mais l’écrire est beaucoup plus difficile. Ça m’a donc forcé à être très précis dans ce que je cherchais à exprimer. Le langage que j’ai utilisé est plus essentiel, avec des thèmes très larges. Ce que je raconte devait être vrai et fort. Chanter en français, c’était aussi comme un refuge qui m’a permis de me confier plus librement.

Quel message voulez-vous faire passer avec son titre «Que ta tête fleurisse toujours»?

Je travaille dans ce métier depuis un moment déjà. L’industrie de la musique pop est très brutale et peut faire des dégâts sur votre esprit et votre manière de voir le monde. Elle peut avoir un impact très négatif avec toute cette pression commerciale. Mais il ne faut pas pour autant être victime de cette gravité. Il faut résister. Et cette douce résistance est seulement possible si l’on a de la créativité, des idées. Il faut oser rester rêveur, même en vieillissant. «Que ta tête fleurisse toujours», c’est aussi ce que m’a soufflé ma mère à l’oreille. C’était son dernier message avant sa mort. C’était une sorte de cadeau d’anniversaire qui m’a beaucoup aidé.

Dans le premier single, «C’est la vie», vous dites que la vieillesse est un naufrage.

Oui. Comment ne pas le penser quand on voit des gens autour de nous en train de vieillir et de disparaître, ou quand on voit notre propre visage en train de changer? Mais pourquoi pas ne pas confronter cette chose? Si le corps va vers la terre, eh ben la tête et le cœur doivent aller vers le ciel. Et ça, c’est le challenge!

Comment gérez-vous le poids des années?

J’ai une routine physique bien précise, voire extrême, car mes concerts sont très physiques. Je fais très attention, car je veux avoir presque une attitude d’athlète pour mes shows, pour ma musique. Je ne veux pas gaspiller mes années. Quand je vois Mick Jagger, avec tout ce qu’il a fait dans sa vie, il vieillit, mais il est complètement en accord avec son corps. Donc c’est comme ça qu’il faut trouver l’équilibre. Tant que je peux tout faire pour être très engagé physiquement et poétiquement, je vais le faire au maximum. Personne ne va m’arrêter, sauf la maladie.

Vous avez 40 ans, quel regard portez-vous sur votre carrière?

Je suis trop dans le moment présent pour prendre du recul. Pour moi, c’est comme une conversation constante. Il y a bien sûr des moments de tension, de joie, de frustration, de tristesse. Mais je n’aurai jamais une nonchalance qui pourrait diminuer l’intensité de cette conversation entre moi et mon travail. Quand je fais quelque chose de manière intense et sincère, ça devient quelque chose d’humain où je peux m’exprimer. Ce n’est pas juste du business. Et tous les gens qui travaillent avec moi le savent. Que ce soit pour un concert, une performance à un événement, peu importe, je vais à chaque fois y aller à fond la caisse et je vais amener toute ma troupe de cirque poétique avec moi.

Vous êtes donc ravi d’être chanteur?

Je suis très reconnaissant du privilège de faire ce job. Je dis bien «job», parce que si l’on ne dit pas que c’est un job, on perd la tête. Il faut avoir conscience que c’est un métier de rêve parce qu’il est multidisciplinaire. C’est là où l’on peut parler de la vie. Je peux être inspiré par une conversation que je peux entendre à l’aéroport ou dans le métro, autant que dans un livre qui gagne le prix Goncourt. Et je peux exprimer tout ça pour les gens qui m’écoutent ou qui viennent me voir sur scène.

Vous parlez aussi de votre compagnon dans «Moi, Andy et Paris».

Oui, j’avais envie d’aller droit au but, surtout parce que c’est un lien entre moi et les gens qui m’écoutent en français. Parce que mon compagnon parle très peu français. Ce n’est pas une chose négative d’en parler, c’est normal de trouver un refuge et d’y aller à fond quand on est auteur.

Vous êtes en couple avec lui depuis dix-huit ans. Quel est votre secret?

Il faut se donner la permission de s’engueuler. D’engueuler, mais aussi d’écouter l’autre qui vous engueule! (Rire.) Je dirai également qu’il faut cuisiner. Et si les deux personnes cuisinent d’une manière ou d’une autre, peu importe. C’est un échange très important. J’y crois vraiment.

Vous reverra-t-on dans le jury de la prochaine saison de «The Voice»?

Oui, on vient de commencer le tournage de l’émission. Et c’est une ambiance fantastique. Ce qui est drôle, c’est que, dans le jury, on est tous en pleine activité avec des albums et des tournées en ce moment. Et ça crée une complicité très forte entre nous, car on comprend les challenges de chacun.

Vous serez en concert à Genève en mars 2024. À quoi peut-on s’attendre?

C’est la première fois que j’écris un show avec un scénario. J’ai en tête l’idée de mettre en scène une sorte d’opéra electro rock avec mon propre matériel. Je mélangerai les langues et les cultures. Ce sera une sorte d’opéra qui parle de la vie, de l’amour et de l’espoir dans le contexte de la fin du monde.

Source : 20 Minutes



Festival du Roi Arthur : Mika en concert le dimanche 25 août 2024

Mika sera sur la scène Excalibur du Festival du Roi Arthur le dimanche 25 août 2024. L’évènement aura lieu à Bréal-sous-Montfort, près de Rennes.

Réservez vos places dès maintenant sur le site officiel du festival.

Tarif classique 50 €
Tarif Enfant (-12 ans et + de 6 ans) 19 €

Source : MikaWebsite[.Com!]Festival du Roi Arthur



Audio : Mika interviewé par Julia Vignali dans « Europe 1 Matin Week-end »

Tous les week-ends en fin de matinale, une personnalité se confie pendant quelques minutes lors d’un entretien avec Julia Vignali. Mika s’est prêté au jeu et l’émission a été diffusée le 02 décembre 2023.

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Source : MikaWebsite[.Com!]Europe 1



Audio : Mika invité dans « Les Grosses Têtes » sur RTL

Mika était invité dans « Les Grosses Têtes » sur la radio RTL. L’émission, présentée et animée par Laurent Ruquier, a été diffusée le lundi 11 décembre 2023. Réécoutez et téléchargez le passage de Mika.

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Source : MikaWebsite[.Com!]



Interview « Le Journal du dimanche » – Mika : « Je n’ai pas de langue maternelle »

Retrouvez cette interview dans le « Journal du dimanche » du dimanche 10 décembre 2023.

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Source : MikaWebsite[.Com!]



Audio : Mika en interview dans « Le Mag’ Loisirs » sur France Bleu

Mika était l’invité de l’émission « Le Mag’ Loisirs » présentée et animée par Laurent Petitguillaume. Cette interview a été diffusée le dimanche 10 décembre 2023.

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Source : MikaWebsite[.Com!]France Bleu



Interview « Version Femina » – Mika : « L’amour n’est jamais très loin de nous »

Le chanteur nous met des paillettes plein la tête depuis son tubesque « Grace Kelly » en 2007. Et son nouvel album, « Que ta tête fleurisse toujours » (Island/Universal), tient toutes ses promesses de chansons prêtes à danser, à la bonne humeur résolument contagieuse. A 40 ans, toujours aussi sympathique, doué, attentionné et élégant qu’à ses débuts, Mika distille une joie intense, aussi bien sur scène qu’à la ville. Un vrai remède à la morosité, idéal en cette période de fêtes.

« Que ta tête fleurisse toujours » : pourquoi un titre d’album aussi surprenant ?

A 7 ans, j’ai eu des problèmes de harcèlement à l’école. Du coup, je ne lisais plus, je n’écrivais plus, j’ai arrêté de parler pendant neuf mois… A tel point que j’ai été viré de l’établissement. Ma mère m’a alors dit : « OK, si tu ne vas pas à l’école, tu iras au parc pour dessiner et tu vas apprendre à chanter et à jouer du piano à la maison. » Quand elle est partie, en 2021, j’ai compris que son message était : « Tant que ta tête fleurit, que tu es créatif, alors tout ira bien. » Je défendrai toujours l’idée que l’imaginaire et la musique peuvent changer la vie des gens.

Comment définissez-vous ce disque ?

Il est fondamentalement pop dans l’esprit, coloré, décalé, mélodique, alternatif. Il n’est pas du tout « variétés », ni lisse, mais accessible. Il comporte autant un côté charnel que des câlins et des cœurs. Faire un album est un processus très sérieux et, en même temps, furieusement amusant. J’aborde des sujets profonds, mais sur une musique très dansante. Pour moi, c’est une sorte de résistance douce et poétique, un désir de métaboliser la vie, la tristesse, le vieillissement, pour les métamorphoser en quelque chose d’autre. Quand on y arrive, on se sent un peu mieux. Je prends mes peurs et je les transforme en chansons, en couleurs, en formes, comme un plasticien.

Si un terme vous définit, c’est bien la joie, non ?

Plutôt la curiosité. Je ne suis pas que joyeux, mais surtout curieux. Je sens aussi tout le temps que l’amour n’est jamais très loin de nous. L’autre jour, avec ma sœur, on faisait du sport dans un parc. Il y avait des vieilles dames et des vieux messieurs, sur des bancs, qui commentaient nos exercices ! Je me suis avancé en esquissant une révérence et je leur ai dit : « Bon après-midi à vous, le spectacle commence maintenant. Merci. » Et là, il s’est passé quelque chose, certains ont applaudi. Je m’en fiche du sport, ce qui reste dans ma tête, c’est d’avoir ressenti un peu d’amour à ce moment-là.

Faites-vous ce métier pour être aimé ?

Pas du tout. Si c’est ce que l’on recherche, je pense que l’on ne peut pas être dans sa propre vérité. Quand je parle d’amour, c’est une sorte de lumière plus universelle que personnelle, liée à une philosophie humaniste.

Le titre « C’est la vie » rend hommage à votre maman ?

Il s’agit d’un hommage à la vie et aux souvenirs qu’elle nous a laissés et qui continuent en nous. Ce n’est pas un hasard si c’est la dernière chanson que j’ai composée, alors que l’album était terminé. Ce titre montre la démarche que j’ai eue et pourquoi j’ai conçu cet album. Non pas qu’il soit entièrement dédié à ma mère. Je reconnais une légèreté d’esprit qui s’entend dans les morceaux et qui me plaît énormément. Je ne me pose pas la question de savoir si les gens vont aimer ou non. Quand j’évoque ma vie personnelle, c’est aussi sans complexe. Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé, mais je ressens une plus grande liberté par rapport à mon album précédent, y compris dans ma vie en général. Je prends beaucoup plus de plaisir dans tous les domaines. Je me sens libéré.

Peut-être cela est-il lié au fait d’avoir eu 40 ans ?

C’est drôle car, il y a quelques années, je m’étais dit que si, à 40 ans, j’arrivais à prendre des risques, à avoir de nouveaux projets, à continuer la musique et à en être fier, alors ça serait bon signe. C’était mon ambition et mon défi. Dans ce métier, il n’est pas donné à tous de devenir quadragénaire tout en gardant cette candeur et cette joie. Il faut jouer comme un enfant et réagir comme un adulte.

Pouvez-vous nous parler de la genèse de votre chanson « Bougez » ?

L’idée est née parce que Valérie Lemercier, qui fait secrètement des voix sur mon titre Jane Birkin, en avait assez d’entendre à la radio, chaque fois que l’on nous vend de la malbouffe, ce slogan : « Pour votre santé, bougez plus ! » Elle m’a invité à écrire sur cette absurdité. Le soir même, je suis allé à un concert où je me suis ennuyé. Les premiers mots me sont venus et je me suis dit que ma copine était géniale. Elle avait raison et j’ai écrit la chanson. Je l’adore, c’est vraiment mon amie. Elle me fait rire, elle est aussi fun que sérieuse. C’est une femme intelligente qui prend des risques comme si elle avait 19 ans.

Quand avez-vous écrit « Jane Birkin » ?

Bien avant sa disparition et ça a été très instinctif. J’avais vu l’un de ses concerts symphoniques, c’était tellement beau ! Elle avait changé physiquement, mais elle communiquait la même lumière. Birkin, c’est une âme, elle a toujours été une référence pour moi, peut-être parce qu’elle avait, elle aussi, ce côté anglo-français, mais pas seulement… Elle était intello et surtout antisnob. Je ne suis pas du tout snob, je déteste ça !

Pourquoi un album entièrement en Français ?

Je voulais le faire depuis très longtemps. La France, c’est une grande partie de mon cœur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle. Je me suis construit avec différentes identités culturelles et c’est très bien ainsi. Je recommence à avoir des projets en Angleterre, alors que j’avais arrêté d’y aller, car j’en avais ras-le-bol. Tout en sachant que, un jour, je trouverais ma façon de faire la paix avec ce pays, qui a été celui de mon enfance, de ma vie scolaire, de mon éducation… Je vais y donner de nombreux concerts, je termine également un disque en anglais, qui sortira l’année prochaine, y compris en France.

Sur un album, vous êtes partout…

Je m’investis globalement, dans les photos, les costumes, les clips… Et j’ai ouvert mon propre atelier. J’en suis le directeur artistique. J’avais demandé à des marques de créer des costumes avec des fleurs géantes pour évoquer cette idée de renaissance. Mais elles ont refusé, alors j’ai décidé de les fabriquer avec des potes. Ainsi, personne n’est là pour nous dire non. J’adore la mode mais, quand on a une idée en tête, on doit avoir la possibilité de la réaliser, à l’instar de nos icônes qui jouaient avec les fringues et racontaient des histoires avec. Mick Jagger allait chez de petits couturiers de Naples ou de New York et s’amusait comme un fou. Aujourd’hui, les artistes ont perdu ça. C’est bien, de temps en temps, d’être habillé par des marques, c’est beau, mais ça n’est pas tout. On a le droit de porter un vêtement imparfait et de s’exprimer !

La tournée débute en mars 2024. Impatient ?

Oui. Avant, je pensais davantage au matériel, aux décors. Désormais, je conçois également des concerts qui sont vraiment de l’énergie pure. Je la provoque, mais on la crée avec le public. C’est ça, la vraie magie, celle qui va aussi me procurer du plaisir et transporter les gens. Finalement, tout est au service de l’énergie. Les chansons, la vie, la mort de ma mère, les problèmes de mon couple, la joie, les désirs, les fantasmes… tout cela doit être transformé en énergie. Celle-ci ne peut qu’être positive car, même si l’on raconte quelque chose de morose, au moins, ça sort. La chanson permet de résister aux aléas que la vie peut provoquer. En extériorisant, ça devient quelque chose qui ne fait plus partie de soi. Ça libère l’esprit et ça rend plus léger.

Source : Version Femina



Interview « Le Parisien » – Mika : « La France fait partie de moi »

À l’occasion de la sortie de son sixième album, « Que ta tête fleurisse toujours », le premier entièrement en français, nous avons demandé à l’artiste de nous parler du lien exceptionnel qu’il entretient avec la France, sa langue et sa culture. Révélateur.

Mika est à l’hôtel de Crillon, où on le rencontre, comme à la maison. Et à Paris comme chez lui. L’artiste à la double nationalité britannique et américaine, qui est né à Beyrouth et vit entre Miami, l’Angleterre et l’Italie, a habité dans notre capitale les sept premières années de sa vie de globe-trotter. La France a été l’un des premiers pays à faire de lui une popstar, en 2007, avec son premier album, « Life In Cartoon Motion » : 1,5 million d’albums vendus ! Et l’a même invité à chanter avant la finale de la Coupe du monde de rugby.

Il n’y a rien d’extraordinaire à ce que notre coach préféré de « The Voice » (où il revient après une parenthèse de quatre ans) ait enregistré un album entier dans notre langue. Son sixième disque, « Que ta tête fleurisse toujours », a été co-écrit avec deux auteurs, un reconnu, Doriand, et une jeune inconnue, Carla De Coignac, composé et produit avec Renaud Rebillaud et Valentin Marceau, alias Marso. Ce n’est pas notre album préféré, mais il ne manque ni de tubes ni d’invitations à danser (« C’est la vie », « Bougez », « Jane Birkin », « Apocalypse Calypso »…) et promet une nouvelle tournée haute en couleur.

Son album. « Quand j’ai annoncé que j’allais faire un album en français, mon entourage avait peur que cela me limite à l’étranger, au moment où l’Asie se reconnecte de manière forte et les États-Unis se vendent à une vitesse pas vue depuis mon premier album : Tu vas t’enfermer dans une niche, m’a-t-on dit. Et c’est exactement le contraire. Les grandes salles où je vais tourner en Angleterre sont déjà complètes, alors que je vais chanter en français. À mon âge, 40 ans, et dans une industrie pop très brutale, il ne faut pas avoir peur d’être artisanal, de se démarquer des autres et de suivre son cœur. La France fait partie de moi, depuis l’enfance. J’ai fait cet album car ma relation à la langue française m’a énormément apporté dans ma vie professionnelle et privée. »

Son titre. « C’est le dernier message de ma mère avant sa mort. C’était un cadeau d’anniversaire. Elle qui le faisait toujours de ses mains, une chemise, un sac, un costume, ne pouvait plus. Alors, on lui a donné un iPad et elle m’a dessiné avec des fleurs sortant de la tête. Je me suis rendu compte bien plus tard que c’était une provocation en plus d’une invitation à rester créatif. Ce fut une libération aussi. Je trouve qu’il faut répondre à la mort avec la même férocité qu’on répond à la vie. C’est une philosophie de vie. »

La chanson « Moi, Andy et Paris ». « C’est la première fois que je consacre une chanson à mon compagnon (Andreas Dermanis), avec qui je suis depuis longtemps. On a eu une énorme dispute il y a quelques années, il est parti à l’aéroport et on ne s’est pas parlé pendant plusieurs semaines. Je devais écrire là-dessus et j’ai instinctivement écrit en français, en sachant qu’il ne comprendrait pas tout de suite. Et, évidemment, il a compris. Et c’est lui qui a insisté pour que je la mette sur l’album. »

Jane Birkin. « Cette chanson, Jane Birkin, je l’ai écrite bien avant sa disparition. Je l’ai rencontrée plusieurs fois. Elle me fascinait, en tant que femme et artiste, et me ramenait toujours à la question de ma vie, d’où je viens ? Elle représente l’érosion des frontières, la sensualité, la nudité et la pudeur, l’intelligence et l’anti-snobisme, dans un monde de plus en plus snob… J’aimerais être comme elle, un jour. Sur cette chanson, je voulais absolument une présence féminine. J’ai demandé à Valérie Lemercier, avec qui je suis devenu très ami, de venir faire de petites interventions. Et c’est elle en studio qui m’a donné l’idée de la chanson Bougez, qui se moque des injonctions à la radio pour votre santé, bougez plus. »

Ses lectures en français. « J’adore Camus, les personnages et les lieux qu’il construit, les questions existentielles qu’il nous pose. Mais je veux citer un livre récent, Beyrouth-sur-Seine de Sabyl Ghoussoub. C’est passionnant. Cela parle intimement d’un sujet très important pour la France, de l’immigration, de l’idée de grandir ici en venant d’ailleurs, comment tu formes ton identité… Je me suis reconnu dans cette histoire. Cela fait du bien de lire pour comprendre sa propre vie et le monde autour de nous, pour nous rendre plus empathique. Je l’ai lu lentement. Je parle assez bien français mais j’ai du mal à le lire et à l’écrire. »
« J’ai des amis partout en France. Après un concert, je conduis pendant une, deux, trois heures. Et ceux que je vais voir le plus, ce sont mes amis dans les restaurants et les hôtels. »

Ses chanteuses. « J’en choisis deux, une du passé, une de l’avenir. Barbara et Juliette Armanet. J’adore les gens qui chantent au piano. Barbara, c’est pas très original, mais je suis tellement geek que je veux entendre ses chansons dans toutes les versions. Comme la Solitude, ma préférée de la chanson française. Je ne reprendrais pas Barbara sur un album, mais sur un concert, avec grand plaisir. Seul au piano. Comme une conversation. Et j’aime aussi Juliette Armanet. À chaque festival que je fais, je veux voir au moins un autre artiste. Et j’ai craqué très fortement sur elle. Qui en pureté est extrêmement forte et fait aussi le show. Et dans ce monde où tout le monde pleure sur Instagram, c’est hyper difficile de faire la showgirl devant 20 000 personnes. Il faut bizarrement se séparer de l’ego pour oser cela. »

Son meilleur souvenir parisien. « J’ai vécu jusqu’à sept ans à Paris. On louait un très joli appartement avec plein de musique et de couleurs. Ma mère avait son atelier de couture dans le salon. Elle avait organisé un shooting de ses créations avec un ami photographe. Je dois avoir 6 ans et, avec mes deux sœurs, on pose devant la tour Eiffel. On est habillés en rose, en noir, avec de grands nœuds. Une photo existe. Je vois ma mère faire ce qu’elle aime avec les gens qu’elle aime. Je pense que tout part de là. J’aimerais bien faire ce que j’aime avec les gens que j’aime. Et tout le monde nous regarde. Ce que je porte est différent, mais pas absurde. C’est créatif, plein d’amour et de fun. C’est aussi un moment clé sur la manière dont je peux vivre ma vie librement. C’est juste avant que mon père (banquier) soit retenu au Koweït. À son retour, il perd son super travail, on part à Londres et la vie bascule. »

Ses amis dans l’Hexagone. « J’en ai beaucoup. Des artistes, designers, écrivains, des gens des médias, comme Marc-Olivier Fogiel, avec qui j’ai une amitié forte. On se dit tout, tout le temps, cash, ça permet d’éviter le confort et avancer. Mais j’ai des amis partout en France, où je voyage énormément en voiture. Après un concert, je conduis pendant une, deux, trois heures. Et ceux que je vais voir le plus, ce sont mes amis dans les restaurants et les hôtels. Une de mes meilleures copines, c’est Brigitte Pages de Oliveira, qui a un hôtel à Arles. À mon dernier Bercy, j’avais invité dans ma loge les serveurs de la brasserie Chez Georges, ma cantine parisienne. Ce soir, c’est à vous d’être servis. J’ai l’impression qu’on fait le même job, qu’on travaille pendant que les autres font la fête, qu’on est tous dans la même troupe de cirque. »

Son plat français préféré. « Le coq au vin. Je sais le cuisiner, mais il faut au moins prendre deux jours pour le préparer. Je cuisine beaucoup, j’adore ça. Si je pouvais arrêter de travailler dans la musique, je prendrais un an à l’institut Paul-Bocuse. »

Source : MikaWebsite[.Com!]Le Parisien



Interview « Sud Ouest » – Mika : « J’adore l’idée de l’amour engagé »

Pour la première fois, le chanteur de « Elle me dit » propose un album intégralement francophone, plus intime que les cinq premiers, sans renier sa pop remuante

Son deuxième album en 2012 («The origin of love ») contenait certes quatre titres en français, mais le tout juste quadragénaire Mika, artiste anglo-américain d’origine libanaise avec passages en France, a cette fois-ci conçu et réalisé « Que ta tête fleurisse toujours » entièrement dans la langue de Molière, sans que Shakespeare s’en mêle. Perché sur le nuage de sa pochette, toujours kitsch en diable, le musicien allie avec adresse et finesse ADN pop et textes sensibles.

Retrouvez cette interview dans le du journal « Sud Ouest » du samedi 09 décembre 2023.

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Source : MikaWebsite[.Com!]



Vidéo : Mika en live et en interview dans « Le Double Expresso RTL2 »

Mika était l’invité du Double Expresso RTL2 ce vendredi 8 décembre 2023. Le chanteur qui vient de sortir son nouvel album « Que ta tête fleurisse toujours » a répondu aux questions de Grégory Ascher et de Justine Salmon et a interprété deux titres en direct des studios de la station Pop-Rock, son nouveau single « C’est La Vie » et le maintenant classique « Underwater ».

 

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Source : RTL2



Vidéo : Mika en interview et en live dans « C à vous » sur France 5

Mika était invité dans l’émission « C à vous » diffusée sur France 5 le jeudi 07 décembre 2023. Il a été interviewé et a chanté son titre « Jane Birkin ».

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Source : MikaWebsite[.Com!]



Vidéo : « En aparté » avec Mika

Une personnalité est invitée par Nathalie Levy à évoquer son actualité et à parler de sa vie et de sa carrière. L’entretien se déroule dans un appartement où l’invité est seul et répond aux questions de son hôte dont on n’entend que la voix. C’est au tour de Mika de se prêter au jeu. L’émission a été diffusé sur Canal+ le mercredi 06 décembre 2023.

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Source : MikaWebsite[.Com!]



Vidéos : Interviews « Radio Contact », « RTL info » & « VivaCité » – Mika fait la promotion de son nouvel album en Belgique

Mika était en Belgique afin de promouvoir son nouvel album « Que ta tête fleurisse toujours » disponible depuis le 01 décembre 2023. Découvrez les vidéos des interviews diffusées sur « Radio Contact », « RTL info » & « VivaCité ».

Interview « Radio Contact »

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Interview « RTL info »

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Interview « VivaCité »

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Source : MikaWebsite[.Com!]



Vidéo : « Basique » – La pop contrastée de Mika

Mika nous parle de son dernier album « Que ta tête fleurisse toujours ».

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Source : YouTube Basique



Vidéo : Mika en répétition avec les élèves de la « Star Academy 2023 »

Voici un extrait de la quotidienne de la « Star Academy » du dimanche 3 décembre 2023 dans lequel vous pourrez voir Mika répété avec les élèves.

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Source : MikaWebsite[.Com!]



Printemps de Pérouges : Mika en concert le jeudi 27 juin 2024

Mika rejoint la programmation du Printemps de Pérouges qui se tiendra du 25 au 30 juin, au château de Saint-Maurice-de-Rémens, dans l’Ain.

Après Slimane, Zucchero ou encore Claudio Capéo, on a appris ce lundi que le chanteur franco-libanais sera sur scène le 27 juin prochain avec Julien Granel !

Réservez vos places dès maintenant sur le site officiel du festival.

CARRE OR – ASSIS NUMEROTE – plein tarif 78 €
CAT 1 – ASSIS NUMEROTE – plein tarif 66 €
CAT 2 – ASSIS NUMEROTE – plein tarif 59 €
FOSSE – DEBOUT – plein tarif 48 €

Source : Printemps de Pérouges